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30/09/2011

Babylone la grande prostitué d'occident.

 

Babylone la grande prostituée d'occident.

On ne trouve pas moins de 270 référence au nom de cette ville dans la Bible (BJ4/Cd-Rom).

Mais la plus intéressante est celle qu'on trouve dans l'Apocalypse de Jean - Chapitre 17 : La prostituée fameuse. 

1 - Alors l'un des sept Anges aux sept coupes s'en vint me dire : «Viens, que je te montre le jugement de la Prostituée fameuse, assise au bord des grandes eaux;

2 - C'est avec elle qu'ont forniqué les rois de la terre, et les habitants de la terre se sont saoulés du vin de sa prostitution.

3 - Il me transporta au désert, en esprit. Et je vis une femme, assise sur une Bête écarlate couverte de titres blasphématoires et portant sept têtes et dix cornes.

4 - La femme, vêtue de pourpre et d'écarlate, étincelait d'or, de pierres précieuses et de perles; elle tenait à la main une coupe en or, remplie d'abominations et des souillures de sa prostitution.

5 - Sur son front, un nom était inscrit – un mystère! – «Babylone la Grande, la mère des prostituées et des abominations de la terre

6 - Et sous mes yeux, la femme se saoulait du sang des saints et du sang des martyrs de Jésus. À sa vue, je fus bien stupéfait;

7 - mais l'Ange me dit : «Pourquoi t'étonner? Je vais te dire, moi, le mystère de la femme et de la Bête qui la porte, aux sept têtes et aux dix cornes.

.../...

18 - Et cette femme-là, c'est la Grande Cité, celle qui règne sur les rois de la terre.

.../...

23 - ... et tes (ndlr : ceux de la femme/ville) sortilèges ont fourvoyé tous les peuples;

24 - et c'est en elle (ndlr : la femme/ville) que l'on a vu le sang des prophètes et des saints et de tous ceux qui furent égorgés sur la terre.

Notons que la femme est une grande cité, les 7 têtes 7 collines qui l'entourent, les 10 cornes les rois qui se sont soumis à son autorité et les titres blasphématoires ceux dont se parent les puissants de la terre dont le premier d'entre-eux est "infaillible" et "... juge de tout et de tous sans pouvoir être jugé lui-même" (Droit Canonique).

Notons également que tous les exégètes ont vu dans cette prophétie la figure de la ville de Rome au temps de l'Empire romain.

 Qu'en est-il aujourd'hui? Rome est-elle toujours la grande prostituée?

Lu sur un site catholique bien connu ici :

http://docteurangelique.forumactif.com/index.htm?sid=07003ce3bbf0f29331626bf150076f05

"Alexis, vous savez, la mafia est le bras armé des loges maçonniques. Les loges décident et la mafia exécute (au deux sens du terme). Il n'y a qu'à voir les rites d'entrée dans une cosca, décrits par les pentiti, l'utilisation du secret, des symboles maçoniques, etc...".

Note : ce post s'inscrivait dans un fil, initié par une pseudo-nommée "Julia" admiratrice des plus durs extrémistes cathos comme l'abbé de Nantes, dont le thème était : 33 points secrets du Grand Maître de la maçonnerie aux évêques pour détruire l'églises catholique. Nous venons de constater qu'il a fait l'objet d'une censure à la suite du dernier post mentionné ci-dessus particulièrement diffamatoire.

C'est à la suite de ce post que nous avons un peu exploré Internet sous les termes "mafia", "mafia et église catholique"... Ce que nous avons lu est édifiant et témoigne bien de l'actualité de la prophétie de Jean (ci-dessus).

 

Qu'est-ce que la mafia?Nous dirons sans l'ombre d'une hésitation : Une organisation criminelle internationale regroupant diverses familles agissant dans le tafic de stupéfiants, la prostitution, la pornographie, le trafic d'influence, le trafic de main d'oeuvre, le racket.... La liste est longue de ses méfaits. Elle trouverait son origine dans les révoltes paysanes en Sicile contre l'occupation française des années 1290+. Exaltant initialement les valeurs de Liberté et de Fraternité les organisations mafieuses d'origine ont progressivement dérivé en organisations criminelles telles que nous les connaissons aujourd'hui. Leurs rites initiatiques premiers, leur goût du secret, leurs symboles puisés dans la Franc-Maçonnerie opérative et forestière les ont parfois fait confondre avec cette institution. Plusieurs papes ont d'ailleurs mensongèrement associé la Maçonnerie aux Carbonari d'abord fondés pour servir l'unité italienne avant de devenir une secte criminelle aujourd'hui fondue dans l'une ou l'autre des formes mafieuses. C'est sans doute de cette bouse papale que l'auteur a tiré le post en référence.

Puisque nous en sommes venus à évoquer l'action vaticane voici ce qu'en dit un excellent article de Wikipédia : À partir de 1861, date à laquelle le nouvel État italien unifié prit contrôle de la Sicile et des états papaux, les papes furent hostiles à l'État. Dès 1870, le pape déclara être assailli par l’État italien et les catholiques furent fortement encouragés à refuser de coopérer avec lui.../... La Sicile était fortement catholique../.. et se méfiait traditionnellement des étrangers. La friction entre l’Église et l’État donna un grand avantage aux bandes criminelles violentes de Sicile qui pouvaient déclarer aux paysans et aux citadins que coopérer avec la police, qui représentait le nouvel État italien, était un acte anti-catholique.../...

On voit donc ici poindre l'action anti-républicaine et anti-démocratique du Vatican... dont le bras armé était les bandes mafieuses.

Bien plus le même article ajoute : Durant toute la guerre froide, la mafia entretient des liens avec les partis politiques italiens, notamment la Démocratie chrétienne qui gouverne quasiment sans interruption le pays jusqu'aux années 1980. Une commission Anti-Mafia est mise en place en 1963, après plusieurs propositions restées lettre morte (en particulier après le massacre de Portella della Ginestra du 1er mai 1947 organisé par Salvatore Giuliano, dix jours après la victoire de la gauche aux élections locales, et en particulier du paysan sicilien Girolamo Li Causi, membre du Parti communiste italien (PCI). D'autres propositions furent émises, en 1948 par le député communiste Giuseppe Berti, et en 1958 par l'ex-Premier ministre Ferruccio Parri, cette dernière étant rejetée par les politiciens siciliens membres de la Démocratie chrétienne, en particulier Bernardo Mattarella et Giovanni Gioia. Danilo Dolci, surnommé le « Gandhi de Sicile », témoigna en 1967 contre les liens entre la mafia et la classe politique italienne, s'attirant les foudres de trois hauts responsables de la Démocratie chrétienne, dont le ministre Bernardo Mattarella ainsi que celles de l'Eglise.

 

On voit ici la collusion entre le monde religieux, le monde politique et le monde mafieux.

Mais il y a plus :  

Selon le livre "Les dossiers noirs du Vatican" qui n'a reçu aucune forme de contestation de la part du mis en cause et qui traite de "l'argent, le crime et la mafia dans l'Eglise catholique" (auteur Paul Williams, traduit de l'anglais (USA) par Véronique Dassas, Colette St-Hilaire, Éditeur : H & O, Béziers (Hérault), Collection : Autre chose à penser, Résumé) cet ouvrage "entend faire la lumière sur les accords financiers conclus par l'Eglise catholique. Il examine les liens entre l'or des nazis et la banque vaticane, la dépendance de Paul VI envers Michel Sindona, un chef de la mafia internationale, la fraude d'un milliard de dollars de titres contrefaits révélés par le FBI et Interpol ou le scandale de la banque Ambrosiano". Avec en Quatrième de couverture :

 "Avec plus de 50 milliards de dollars en titres, des réserves en or qui dépassent celles de nombreuses nations industrialisées, des biens immobiliers dont la surface totale est supérieure à celles de plusieurs pays et des palais contenant les plus grands trésors artistiques, les richesses de l'Église catholique sont immenses. Pourtant, en 1929, le Vatican est au bord de la ruine. C'est alors que le pape Pie XI décide de signer un traité avec le dirigeant fasciste Benito Mussolini. Grâce à cet accord, le Duce obtient le soutien de l'Église tandis que le Vatican reçoit un paiement de 90 millions de dollars, le statut d'État souverain et la garantie de salaires payés par le gouvernement pour tous les prêtres du pays. Ainsi le pape résout-il d'un coup tous ses problèmes financiers au prix de la soumission de l'Église à l'un des régimes politiques qui allaient bientôt mettre l'Europe à feu et à sang. Cette terrible compromission n'est pourtant que la première d'une longue série... Dans ce livre explosif, Paul Williams expose les preuves irréfutables des accords financiers plus que douteux conclus par l'Église catholique. Il examine, entre autres, les liens qui unissent l'or des nazis à la banque vaticane, la dépendance de Paul VI envers un chef de la mafia internationalement connu, le gigantesque scandale de la banque Ambrosiano, la mort mystérieuse de Jean-Paul Ier et les conséquences sociales désastreuses des affaires de pédophilie."

Et encore : Vatican SA, Publié le 01 juin 2009 par Jean-Marie Le Ray : En Italie vient d'être publié un livre intitulé Vaticano SpA, où SpA signifie Società per Azioni, qui est la forme statutaire équivalente de la SA, la Société anonyme en France. Ce livre, écrit par un journaliste, Gianluigi Nuzzi, se base sur les archives gardées secrètes de Monseigneur Renato Dardozzi, soit environ 4 000 documents collectés sur un quart de siècle, tous plus confidentiels les uns que les autres (relevés de compte, fiches d'ouverture de comptes chiffrés avec les signatures déposées, correspondance réservée avec le pape Jean-Paul II et les plus hauts dignitaires de l'époque, de 1974 à la fin des années 90), qu'il a voulu rendre publics après sa mort, "pour que tout le monde puisse savoir ce qui s'est passé", selon ses dispositions testamentaires.

C'est ainsi que l'on découvre, de chapitre en chapitre, les innombrables méfaits de son Excellence Révérendissime Monseigneur Donato De Bonis, Chapelain Grand Croix Conventuel ‘ad honorem’, Prélat de l’Ordre de Malte, décédé le 23 avril 2001, qui a fait ce qu'il a voulu au sein de la Banque du Vatican, l’IOR (l’Institut des Œuvres de Religion), en réussissant pratiquement à créer un IOR parallèle, une banque dans la banque, grâce à laquelle il a pu "gérer", de 1989 à 1993, 17 comptes principaux sur lesquels ont transité presque 300 millions d'euros... Où l'on comprend que les enseignements de Marcinkus, dont il était le second, n'ont pas été vains, puisqu'il a pu ainsi créer un véritable "paradis fiscal", c'est le cas de dire !

La principale activité de De Bonis a constitué à mettre en place un réseau de comptes clandestins, la plupart au nom de fondations charitables inexistantes, dont la principale, intitulée à une soit-disant Fondation Cardinal Francis Spellman, n'était qu'un compte chiffré (n° 001-3-14774-C) avec deux signatures : celle de De Bonis et celle de Giulio Andreotti. De Bonis indiquant dans ses dispositions testamentaires qu'à sa mort le solde du compte devait être mis à la disposition de Giulio Andreotti ... "pour des œuvres de charité et de bienfaisance, à sa discrétion", il va de soi. C'est ainsi que sur ce compte et d'autres, établis par Carlo Sama, Sergio Cusani et Luigi Bisignani, a transité la presque totalité du plus gros pot-de-vin de tous les temps, la "maxitangente Enimont", surnommée la "madre di tutte le tangenti", ou "mère de toutes les malversations", soit un peu plus de 90 milliards de lires sur un total de 130, près de 0,5 milliard de FF de l'époque... Dont la plupart ont fini leur course dans les poches de Bettino Craxi, Claudio Martelli, Arnaldo Forlani, Paolo Cirino Pomicino, etc. Entre parenthèses, à noter que ce dernier, qui fête ses 70 ans cette année, est encore en vogue puisque, après avoir subi une condamnation définitive, il est présent sur les listes européennes de Berlusconi../...

Le livre se termine sur un chapitre dédié au recyclage de l'argent de la mafia, quelques pages qui feraient une excellente introduction à une histoire ... encore à écrire !

Le banquier Roberto Calvi de la Banco Ambrosiano, la banque du Vatican, a été suicidé (étranglé puis pendu) sous le pont des Black Friards à Londres (meurtre rituel: des briques dans lespoches...) (assassinat par le parrain mafieux Pippo Calo)... (quelques heures auparavant, sa secrétaire Grazziella Corrocher est "suicidée" en tombant du 4e étage des bureaux de la Banco Ambrosiano), assassinat de Roberto Rossone directeur général de la Banco Ambrosiano. Guiseppe Dellacha, executive, se tue en tombant d'une fenêtre de la Banca Ambrosiano Milan. Rescandale... Michelle Sidona, financier, grand argentier de la Mafia américaine et sicilienne depuis 1957, qui contrôlait la Finibank propriété du Vatican, est empoisonné en prison à la Strychnine juste avant de comparaître devant les juges. Le général Della Chiesa, le président de la D.C. Aldo Moro sont assassinés. Mgr Marcinkus, banquier du Vatican, est nommé aux USA pour éviter la justice italienne malgré un mandat d'arrêt international. Sources www.bible.chez-alice.fr : F. Hacourt "Le Vatican, l'argent et le pouvoir" Ed EPO 1984, Encyclopedia Britannica, CNN, "La croix" 16 octobre 2003, http://www.radiofrance.fr/franceinter/em/rendezvousavecx/

Le mafieux Giuseppe Calò(alias « Pipo Calo ») est l'un des principaux accusés de la mort de Calvi. Selon le journaliste David Yallop, Roberto Calvi aurait été responsable de la mort d'Albino Luciani qui, en tant que pape Jean Paul Ier, préparait une réforme des finances du Vatican. La famille de Calvi prétend que ce dernier était un honnête homme manipulé par d'autres. Selon les juges qui ont enquêté Calvi aurait détourné de l'argent qui appartenait à la mafia qui aurait voulu empêcher la justice de découvrir comment Calvi l'aidait à blanchir de l'argent.

1989

Paul Touvier fasciste, antisémite notoire, criminel contre l'humanité, bourreau des nazis dans la région lyonnaise condamné à mort en 1945, (embauché par le SDECE) est arrêté dans un couvent de Nice : Il vivait dans la clandestinité, protégé par l'Église catholique (l'archevêché de Lyon planquera les archives Touvier à Rome) depuis 1947. Source www.bible.chez-alice.fr: "Histoire" janvier-février 2002, L'Express, L'Alsace, Le Monde,"Le Canard Enchaîné" 06/1990

1992

Le Cardinal Maurice Otunga, archevêque de Nairobi brûle des préservatifs sur la place publique. Le juge Giovanni Falcone est assassiné, son successeur le juge Paolo Borsellino est assassiné. Giulo Andreotti, sept fois président du conseil, sénateur à vie, intime des hiérarchies vaticanes, ami personnel de Jean-Paul II, appelé "le cardinal" est mis en cause par les repentis mafieux dans les affaires Sindona, Calvi, Dalla Chiesa, Pecorelli et Aldo Moro, il serait le patron de la mafia à Rome: ouverture d'une enquête. Il sera acquitté en 1999 puis condamné à 20 ans de prison en 2002 mais ne purgera pas sa peine.

1994

La banque du Vatican: IOR (Instituto per l'Opere del Religion, utilisée aussi par la CIA) dérape de nouveau: elle est compromise dans le scandale Enimont où l'IOR a servi de relais à un pot de vin de 93 milliards de lires payé aux partis politiques italiens pour s'assurer la mainmise sur la chimie italienne. La banque du Vatican est aussi impliquée dans un trafic d'armes au profit d'une famille mafieuse de Catane et dans une tentative de détournement informatique de subventions européennes. 

A l'IOR, il n'existe pas de chéquier. Toutes les transactions se font en liquide, en lingots d'or ou par virement. Nul n'a accès aux livres de compte de la banque, pas même les magistrats de Mani Pulite qui se heurtent à l'opacité entretenue par le Saint-Siège. En somme, le Vatican est l'un des paradis fiscaux les plus efficaces au monde.

Une liste de clients prestigieux et… engagés

Pour ceux qui auraient des doutes sur la qualité des services financiers de l'IOR, la liste de ses meilleurs clients est éloquente :

  1. la famille Gambino de New-York, qui a recyclé son argent sale, moyennant une commission de 50%

  2. les chefs mafieux siciliens Toto Riina et Bernardo Provenzano

  3. l'inoxydable Giulio Andreotti, ancien président du Conseil, qui a bénéficié de fonds colossaux

4. le syndicat polonais Solidarnosc

Les « affaires » ont surgi au début des années 80, lorsque deux clans se sont opposés :

  1. d'un côté, une poignée d'homme affiliés à la franc-maçonnerie (la fameuse loge P2 dont il a été largement démontré qu'elle n'avait rien de maçonnique mais tout d'une machine de guerre pour le pouvoir et le fric contre l'état) et à la mafia : Michele Sindona, nommé conseiller financier de l'IOR en 1968 et Roberto Calvi, patron de la Banco Ambrosiano, tout deux membres de la loge Propaganda Due (P2).

  2. de l'autre, un groupe de prélats proches de l'Opus Déi qui décident d'accepter ces clients douteux, pourvus que les profits de l'établissements aillent, comme le prévoit ses statuts, aux oeuvres religieuses nécessiteuses.

Aujourd'hui, les responsables de l'IOR s'appuient sur un conseil de cinq cardinaux pour contrôler l'activité de la banque. Ils pourront toujours méditer le bon mot de Mgr Paul Marcinkus, qui avait coutume de dire : « Est-il possible de vivre dans ce monde sans se soucier d'argent ? Il n'est pas possible de diriger l'Eglise avec des “ Ave Maria ”. »

 

Une fois encore nous n'attaquons pas la foi des catholiques sincères qui sont nombreux. Mais, quand bien même nous comptons dans nos rangs quelques moutons noirs qui relèvent des tribunaux lorsque les faits sont avérés ou patents,  nous ne pouvons pas laisser dire que la Franc-Maçonnerie est mafieuse dans son essence et ses pratiques. Si tel avait été le cas aucun régime totalitaire ne l'aurait interdite ni le Vatican, à la lecture de ce qui précède, condamnée. 

Nous devons rendre justice du fait que, récemment, des cardinaux, et non des moindres, ont fulminé contre les sociétés mafieuses et leurs membres non repentis une peine d'excommunication immédiate et définitive "latæ sententiæ". Celà  suffirat-il à  faire de l'organisation ecclésiale une société au dessus de tout soupçon? 

A suivre... mais il va de soi que nous ouvrirons nos colonnes à tous ceux qui voudront apporter démenti à nos informations qui ne sont encore que parcellaires. Voir aussi :

http://lodgamour.blogspirit.com/archive/2012/01/01/la-gra...

17:51 Publié dans D2 - Points de vue maçonnique sur la société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : église, catholique, mafia