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01/01/2009

Appel solidarité

Un appel de l'ORDRE SOUVERAIN DE MALTE qu'aucun homme de coeur ne peut ignorer

Nous le relayons par devoir et nous l'appuyons par solidarité

"En avril 2007 le Parlement a adopté un texte qui met fin à la collecte de médicaments inutilisés en France.

Personne ne peut ignorer les conséquences de ce texte.

Le Gouvernement lui-même, en avait à ce point conscience que le Ministre de la Santé s’était engagé à promouvoir, en partenariat avec les Associations humanitaires et les laboratoires pharmaceutiques, la mise en œuvre de solutions d’approvisionnement en médicaments.

20 mois ont passé, les stocks de médicaments sont épuisés et les associations ont évalué avec précision les besoins qui relèvent de leur domaine d’intervention : pourtant, aucune proposition ou solution n’a été avancée par les pouvoirs publics.

Aujourd’hui, outre la responsabilité humanitaire, sociale et sanitaire de la France, l’enjeu porte aussi sur son image internationale et la valeur de sa parole.

Personne ne peut rester indifférent au sort des millions d’hommes, de femmes et d’enfants qui attendent que les médicaments indispensables à leur survie leur soient fournis.

C’est une responsabilité collective de la France à l’égard des pays les plus pauvres dont il s’agit.

Qui aurait assez d’inconscience morale et sociale pour abandonner 1 million de personnes démunies ?

Vous aussi, rejoignez-nous en signant ce manifeste, afin qu’une décision soit prise par les instances de notre pays dans les plus brefs délais."

http://www.ordredemaltefrance.org/index.php?/component/op...

25/12/2008

Une réponse au docteur Maurice Caillet

Publié par Emmanuel sur le site du Docteur Caillet ancien membre du GO et nouveau converti à la foi catholique.

Pardon de rester derrière l'anonymat d'un pseudo. Mais c'est justement à cause des haines recuites que re-générent vos écrits et ceux de vos semblables que je le fais. Il se trouve qu'en plus d'avoir un nom connu, je suis également chrétien, catholique et franc-maçon, depuis bientôt 30 ans dans une obédience libérale et traditionnelle mais qui n'est pas le GO, dans laquelle j'ai été, comme vous l'avez été, vénérable de loges, député et un peu plus. De plus "haut gradé" (sic), disons au moins autant que vous. Sauf que je n'ai jamais fait dans l'occulte, que je n'ai jamais fumé non plus la moquette et autres fantaisies qui furent les vôtres avant votre conversion. Je ne suis pas non plus doublé d'une épouse "douée" de facultés de médium, dûement estampillées par l'ECAR qui n'en n'est pas à un près puisqu'elle condamne par ailleurs, et à juste titre, tout ce qui touche la voyance, le spiritisme....

Après ce bref de présentation j'en viens à vos positions.

Dans un message récent vous interrogez de savoir "si les papes qui ont condamné la FM ont été idiots?" A cette question la réponse est oui! (voir l'étymologie grecque du mot "anaisthetos") Cela a été démontré par les travaux des pères Rousse-Lacordaire et Ferrer-Benimeli. Tous deux ecclésiastiques et professeurs éminents d'universités réputées et spécialistes des relations église-franc-maçonnerie. De plus, et à commencer par la première, celle de Clément XII, toutes ces condamnations sont nulles par l'effet du Droit Canonique lui-même. C'est donc à juste titre que le NDC issu de Vatican II a supprimé le canon 2335, par ailleurs contraire à diverses dispositions de la DUDDH de 1948. Canon qui plaçait, eu égard à la DUDDH, l'église au rang des organisations totalitaires (voire plus). Malheureusement force est de constater que la déclaration d'incompatibilité de 1983 signée JPII et J Ratzinger replace l'église latine en infraction grave avec cette DUDDH. Et j'évoquerai uniquement pour mémoire le fait que ces encycliques sont fondées sur "la rumeur publique" et "l'insinuation" (Clément XII et suivants). Autrement dit sur la calomnie et l'ignorance (voir Ferrer-Benimeli).

Ailleurs vous dites que vous fûtes sous le coup d'une menace de mort d'un FM que vous ne voulez pas dénoncer. Mais de grâce faites-le afin que la justice maçonnique et la justice civile fassent leur oeuvre à l'égard de tels malfaisants qui n'ont rien à faire parmi nous (même remarque concernant le nommé Delière).

Vous affirmez encore ne pas connaître de morts suspectes dans l'église, alors que vous laissez entendre que certains personnages connus comme FM pouraient avoir été "suicidés" (sous entendu par leurs frères)... Mais outre que celà constitue une dénonciation calomnieuse que faites-vous des morts du scandale de la banque vaticane, de la mort suspecte de Jean-Paul 1er, de celle de Jean XXIII...? Notez qu'ici je n'affirme rien. Je ne fais que vous interroger sur la base d'infos (intox?) qu'on trouve à profusion sur le net. 

Vous écrivez "Quand la bêtise et la méchanceté se marient...il n'y a malheureusement jamais de divorce ! Amen" Merci de cette preuve de lucidité qui aurait quand même dû vous faire relever ceci en faux, par simple honnêteté intellectuelle : "une fm convertie, précise les meurtres, rites et messes noires pratiqués dans certaines obédiences." A quand de votre part une description précise de tels faits dans l'obédience dont vous fûtes membre?

Un dernier mot. Vous qualifiez la FM de relativiste ou d'indifférentiste... Soit, n'importe qui peut porter n'importe quel jugement sur n'importe quoi. Vous ne faites là que ressasser les affirmations sans preuves de vos nouveaux maîtres à penser à qui il faut bien donner des gages de conversion... c'est humain. Mais que dites-vous lorsque Mgr Barbarin, Primat des Gaules, Prince de l'église, affirme (ce matin sur FI) vouloir se rendre à Jérusalem en compagnie d'un rabbin et d'un dignitaire musulman? Geste de paix certes. Mais ce que ne voit pas le commun c'est ici la marque du relativisme et de l'indifférentisme de l'église qui place la religion musulmane et la juive sur le même plan qu'elle. Que pensez-vous de ces nombreuses marques d'oecuménisme (de Satan selon certains chrétiens)?

Vous souhaitiez une réponse sur le fond et dans une forme courtoise. Je pense vous l'avoir donnée sur qq points de vos affirmations. Et notez que je ne vous reproche pas d'avoir quitté la maçonnerie. Au contraire vous donnez ainsi la preuve éclatante qu'on peut en sortir facilement et baver sur elle un peu de lait caillé sans dommage.

Bonnes fêtes de fin d'année à vous. Et meilleurs voeux pour votre chemin de conversion.

Emmanuel

http://www.cailletm.com/index.php/2004/09/22/85-faut-il-a...

Voyons si cette réponse sera publiée???? 

21/12/2008

Etre Franc-Maçon pour les nuls

Destiné à tous ceux qui voudraient jouer au franc-maçon!!!!

 http://www.gather.com/viewArticle.jsp?articleId=281474977...

Promis, juré c'est que du bonheur!!!

Attention temps de chargement un peu long.

 

20/12/2008

Mon curé chez les francs-macs ou p.e les francs macs chez mon curé?

Toute une série d'articles montrant "l'infestation maçonnique" du Vatican et la transformation de l'église latine en "religion maçonnique mondiale".

Le pape Benoît XVI aimablement qualifié "d'abbé apostat Ratzinger".

Plusieurs loges maçonniques seraient en fonctionnement dans l'enceinte même du Vatican. Elles regrouperaient des dizaines de prélats y compris au sein de la Curie?

Plusieurs papes auraient été des élus de la franc-maçonnerie?

Vatican II qui a vu de profondes réformes du droit canonique, dont le quasi abandon des condamnations papales contre la maçonnerie, aurait été un concile "maçonnique"? ..... et beaucoup d'autres énormités de la même eau.

A se demander où Satan (peut être) mais plus sûrement la bêtise humaine va chercher tout ça? Quand on pense que ces gens se disent "chrétiens", disciples d'une religion d'amour. Ce serait à rire si ce n'était à pleurer!!!

 http://www.virgo-maria.org/D-Ratzinger-Plan-FM/index_ratz...

 A lire sur l'étonnant site : http://www.virgo-maria.org/

19/12/2008

BXVI rétropédalage selon Golias

De GOLIAS 18 décembre 2008
Eglise/Franc-maçonnerie : le retour des vieux démons.

Alors que les relations entre l’Eglise catholique et la franc-maçonnerie se déroulaient de manière apaisée depuis plusieurs années, voilà qu’un important responsable de la Curie romaine relance la stigmatisation de l’Eglise catholique contre les « frères de lumière ».

Une nouvelle étape dans la lutte du Pape Ratzinger contre le relativisme.

Les propos récents de Mgr Gianfranco Girotti, secrétaire de la Pénitencerie Apostolique, organisme de la Curie romaine ravive de vieilles polémiques et sans doute parfois d’anciennes inquiétudes.

En effet, le prélat du Vatican a rappelé la position déjà exprimée en 1983 par le cardinal Joseph Ratzinger, alors préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi, concernant la franc-maçonnerie : « l’Eglise catholique a toujours critiqué la conception mystique propre à la franc-maçonnerie, la déclarant incompatible avec sa propre doctrine ». Il a dénoncé en particulier le « naturalisme rationaliste qui inspire ses projets et ses activités contre l’Eglise ».

Il met également en garde contre « le climat de secret qui la caractérise ». Selon Mgr Girotti, un franciscain très conservateur qui a travaillé avec le cardinal Ratzinger au Saint Office, ceux qui appartiennent à la franc-maçonnerie « ’prennent le risque de devenir instrument de stratégies qu’ils ignorent ».

En tout cas, selon ce prélat de Curie, non seulement l’adhésion à un loge maçonnique demeure interdite par l’Eglise, mais en plus ceux qui y contreviennent sont en état de péché grave et ne peuvent avoir accès à l’eucharistie.

Cette intransigeance ne présente rien de nouveau. Certes, dans les années soixante dix, de nombreux prélats étaient intervenus pour infléchir la position traditionnelle, soit par des interventions publiques soit à des niveaux plus discrets. Citons en particulier les cardinaux Koenig et Seper. Lors de la rédaction du Code de droit canonique de 1983, un certain nombre d’hommes d’Eglise sont intervenus pour que ne soit pas reconduite l’ancienne peine d’excommunication. En particulier, les cardinaux Casaroli (Secrétaire d’Etat) et Castillo Lara, ou l’alors Mgr Vincenzo Fagiolo. D’un avis différent, le cardinal Ratzinger crut bon quelques mois après de faire paraître un texte rappelant que même si les francs-maçons n’étaient pas excommuniés, pour autant ils étaient en état de péché grave.

A la base, il en va tout autrement : de nombreux croyants catholiques romains fréquentent les loges ; y compris des prêtres et quelques évêques. Dans le passé, plusieurs prélats comme Daniel Pézeril, évêque auxiliaire de Paris, Jean-Charles Thomas, évêque de Versailles ou André Collini, archevêque de Toulouse ou le Père Michel Riquet, jésuite ont entamé un dialogue positif et promu des échanges féconds et amicaux. Dans un livre consacré au sujet par le théologien et historien Jérôme Rousse-Lacordaire, dominicain, Mgr Joseph Doré, archevêque de Strasbourg, sulpicien et lui-même théologien de renom a tenu des propos ouverts et encourageants.

1. UNE HISTOIRE COMPLEXE

Depuis 1738 ( premier texte de condamnation de la part d’un Pape, Clément XII ), les rapports entre l’Eglise et la franc-maçonnerie sont souvent tendus. Pourtant, les raisons véritables du premier conflit n’avait rien de doctrinal, mais de dynastique et de politique : d’obscurs conflits de succession chez les Stuart. On note d’ailleurs en général au XVIIIe siècle le grand flou de l’énoncé des motifs de condamnations.

En 1873 encore, la bulle de Pie IX « etsi multa », condamne moins la maçonnerie elle-même (pour des raisons philosophiques) que des influences politiques qu’elle entend pourfendre (avec l’arrière-pensée selon laquelle il y a un lien de cause à effet entre les actions souterraines de ces courants et les déboires d’un Pape qui a perdu ses Etats Pontificaux).

Le texte le plus dur date de 1884, il s’agit de l’encyclique « Humanum genus » du Pape Léon XIII, par ailleurs homme de culture et intellectuel moins fermé aux questions nouvelles que son prédécesseur (on lui doit justement en 1891 l’encyclique « Rerum novarum » sur les questions sociales).

En fait, là encore, il s’agit plutôt de circonstance lié au contexte spécifique de l’Italie du temps marquée par le combat anticlérical contre la Papauté et le catholicisme. Au fond, la position du Pontife Romain n’a rien d’une sorte de condamnation absolue de la maçonnerie : il s’agit davantage de dénoncer l’anticléricalisme dont firent preuve de fait les loges maçonniques.

D’où au début des années 1970, cette position de trois cardinaux, Joseph Krol, Franz Koenig et Franjo Seper selon laquelle le noyau véritable de l’enseignement du Magistère catholique sur la question n’était pas une condamnation définitive de la maçonnerie et de ses lumières philosophiques, sapientielles et morale mais uniquement de l’orientation anticatholique parfois adoptée. Autrement dit, un catholique peut être maçon s’il ne fait sien l’anticatholicisme.

Le fait que le canon d’excommunication rédigé en 1915 par Benoît XV contre la franc-maçonnerie mentionne les sociétés qui « complotent contre l’Eglise » n’est pas anodin. Je me permets d’ajouter que tel fut l’argument de Mgr Vincenzo Fagiolo, canoniste romain, pour supprimer de l’actuel code de droit canonique l’excommunication en raison de l’appartenance à la maçonnerie.

2. CONSIDERATIONS « THEOLOGIQUES »

Avec un peu d’humour et de sens du relatif, je me permets d’attirer l’attention sur le sens très relatif de la loi dans la mentalité romaine. La référence est répétée, éventuellement avec solennité ou théâtralité d’autant plus qu’elle appelle des exceptions, des accommodements et des contournements.

Nous sommes quant à nous influencés au contraire par un sens de la norme intériorisée. Un exemple : la conduite automobile est différente à Berlin et à Rome ou Naples. Cette considération permet d’emblée de ne pas dramatiser ou prendre forcément au pied de la lettre une prise de position même abrupte.

Plus sérieusement, la tradition chrétienne la plus authentique, y compris catholique, reconnaît un primat de la conscience. A commencer par Saint Thomas d’Aquin, Docteur commun de l’Eglise catholique.

Au XIXe siècle, le cardinal John Henry Newman – dont le procès en béatification est actuellement en cours à Rome – a dit un jour : « je bois à ma conscience et au Pape ensuite ».

Toutes les décisions des officines vaticanes n’ont pas portée d’infaillibilité. La définition de l’infaillibilité de l’Eglise, qui fonde une éventuelle infaillibilité pontificale (discutée par des théologiens comme Hans Küng) ne vaut que pour les éléments essentiels de la foi et en certaines circonstances.

Au quatorzième siècle, le Concile de Vienne a condamné officiellement le prêt à intérêt comme étant toujours un péché mortel. L’Eglise est revenue sur cette position (cf. les banques vaticanes).

Au fil des siècles, les institutions vaticanes ont condamné Galilée, réhabilité par Jean Paul II qui a fait repentance (et déjà en partie par Benoît XIV deux siècles et demi auparavant).

Un croyant éclairé n’a pas peur quelquefois d’être en porte-à-faux avec l’opinion d’un temps des hommes d’Eglise (Jacques Maritain distinguait l’Eglise et son personnel).

Il vaut mieux obéir à Dieu (et la conscience est la première voix de Dieu en nous) qu’aux hommes.

Merci à GOLIAS pour cet édito positif.

Voir aussi les commentaires apportés à cet édito.

http://www.golias.fr/spip.php?article1330#forum4463