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01/06/2013

Merci Monseigneur Thomas

Dans un commentaire personnel daté du 29 mai 2013 Mgr Thomas ancien évêque de Corse et de Versailles exprime son point de vue sur l'affaire du Curé VESIN viré de son ministère pour appartenance à une loge maçonnique du Grand Orient de France. Nous laissons à nos lecteurs le soin d'apprécier. Voir aussi : http://lodgamour.blogspirit.com/archive/2013/05/29/cure-e...

Rappelons que Mgr Thomas lorsqu'il était évêque de Versailles a permis des contacts fructueux entre l'évéché et des membres de la Grande Loge de France. Il en sortit une cassette vidéo "Le Jardin Caché" qui fit à l'époque grand bruit. Il fut de plus l'auteur d'une très belle conférence dans les locaux de cette obédience.

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Relevé sur le site des Baptisés de France

http://www.baptises.fr/?p=7470

Le curé de Megève (Haute-Savoie), le Père Pascal VESIN, vient d’être demis de ses fonctions à cause de son appartenance au Grand-Orient de France. Nous remercions Monseigneur Jean-Charles THOMAS, ancien évêque d’Ajaccio et de Versailles, de nous faire part des réflexions que lui inspirent ce fait.

Tout semble avoir commencé par une lettre anonyme envoyée à l’évêque d’Annecy, au printemps de l’année 2010 contre Pascal VESIN, 43 ans, prêtre depuis 1996 et franc-maçon depuis 2001 dans la Loge : « L’Avenir du Chablais », du Grand Orient de France à Thonon les Bains (Haute Savoie). C’était il y a trois ans.

Un dialogue a eu lieu entre Pascal Vesin et son évêque Yves BOISVINEAU, puis avec trois prêtres du conseil presbytéral.

Pendant ces trois ans, la Congrégation romaine pour la Doctrine de la Foi a-t-elle été alertée par la même lettre anonyme ? A-t-elle pris l’initiative de connaître la position de l’évêque ? A-t-elle cherché à connaître les raisons invoquées par Pascal Vesin pour s’inscrire au G.O. de France ?La Congrégation pour la doctrine de la foi a-t-elle reçu une demande de rencontre ou d’explication de la part de l’évêque de Pascal Vesin ? De la part de Pascal Vesin ? Quelle fut sa réponse ? A-t-elle accepté ou refusé dialogue et explications ? Pour quels motifs ?

Mgr Yves Boisvineau fonde sa décision sur le canon 1332 du Code de Droit canonique en écrivant : » vous ne pouvez donc plus désormais, à compter de ce jour, ni recevoir ni célébrer les sacrements et je vous demande de quitter la paroisse dont vous n’êtes plus le curé. » Il fait référence à la déclaration de la Congrégation pour la doctrine de la foi du 26 novembre 1983, qui considère que « les principes (des associations maçonniques) ont toujours été considérés comme inconciliables avec la doctrine de l’Église ».

Rappelons le contexte de cette déclaration. Elle a eu lieu la veille de l’entrée en application du nouveau Code de droit canonique de 1983, le 27 novembre, 1er dimanche de l’Avent 1983, et remplaçait celui de 1917. Dans cette déclaration, le Cardinal Ratzinger, donnait une interprétation personnelle concernant la disparition de l’ancien canon 2335 de 1917 qui excommuniait ipso facto « ceux qui donnent leur nom à des sectes maçonniques et aux autres associations du même genre qui conspirent contre l’Église ou contre les pouvoirs civils légitimes ».

Le cardinal Ratzinger précisait ce qu’il fallait penser de la disparition de cet ancien canon dans le nouveau Code. Il maintenait l’incompatibilité des principes de la Franc-Maçonnerie avec ceux de l’Église catholique. Il ajoutait que les fidèles qui s’inscrivent à la FM « sont en état de péché grave et ne peuvent pas accéder à la sainte communion ». En réalité, le Code actuel dit seulement : « Qui s’inscrit à une association qui conspire contre l’Église sera puni d’une juste peine ; mais celui qui y joue un rôle actif ou qui la dirige sera puni d’interdit » (Canon 1974)

La preuve a-t-elle été faite que la Loge à laquelle appartient Pascal Vesin est une association qui conspire contre l’Église ? Qui a mené cette enquête ? Les conclusions des éventuels enquêteurs ont-elles été publiées ? Sont-elles actuellement disponibles ?Pascal Vesin joue-t-il un rôle actif dans sa Loge ? La dirige-t-il ? Puisqu’on lui applique la sanction correspondante, à savoir l’interdit (canon 1332), qui a mené l’enquête préalable à cette sanction ? Les résultats de cette enquête sont-ils en possession de l’évêque de Pascal Vesin ? Depuis quelle date ?

La lecture attentive des textes publiés à ce jour montre que la décision a été prise à la demande de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi présidée depuis juillet 2012 par le cardinal G.L. Müller, ayant pour secrétaire le jésuite espagnol Luis Ladaria Ferrer.

Á quelle date cette Congrégation a-t-elle demandé à Mgr Boisvineau de prendre la décision d’appliquer à Pascal Vesin le canon 1374 concernant les associations conspirant contre l’Église ? A-t-elle laissé à l’évêque local la liberté de choisir « la juste peine » à appliquer ? Lui a-t-elle rappelé l’esprit du Code de droit canonique : « L’Ordinaire (autrement dit l’évêque local) aura soin de n’entamer aucune procédure judiciaire ou administrative en vue d’infliger ou de déclarer une peine que s’il est assuré que la correction fraternelle, la réprimande ou les autres moyens de sa sollicitude pastorale ne peuvent suffisamment réparer le scandale, rétablir la justice, amender le coupable » (Canon 1341)

Si la Congrégation pour la Doctrine de la Foi a imposé à l’évêque d’appliquer la sanction de l’interdit (canon 1332) à quelle date et par quel moyen l’a-t-elle fait (un entretien ? un texte remis à l’évêque par l’intermédiaire du Nonce apostolique en France ? un coup de téléphone ?)

La date ne manque pas d’importance. Selon le Figaro du vendredi 24 mai [2013], « Cet organisme du Vatican a intimé, le 7 mars dernier – juste avant le conclave qui a vu l’élection le 13 mars du pape François et après la fin du pontificat de Benoît XVI le 28 février 2013 – l’ordre à l’évêque de démettre de ses fonctions le père Pascal Vesin ».

S’il est légitime d’imaginer qu’un dialogue existait entre la Congrégation et l’évêque d’Annecy depuis un certain nombre de mois, on peut se demander non moins légitimement s’il y a eu des éléments déterminants pour qu’une décision soit prise très précisément après la fin du pontificat de Benoît XVI et avant l’élection du Pape François, pendant cette période de « vacance du Siège romain » ? De quelle nature sont ces éléments ? Tiennent-ils à la situation dans le diocèse d’Annecy ou la situation très particulière des organismes du Vatican pendant la vacance du Siège ? Il y a là des points sur lesquels la lumière devra nécessairement être faite ! Pour en tirer de justes conséquences.

Le Pape François interviendra-t-il dans cette affaire ? Quelqu’un en appellera-t-il à son discernement ? Le pape François se trouverait alors dans une situation inédite :

  • Soit abonder dans le sens de la déclaration de 1983 faite par le Cardinal Ratzinger devenu Benoît XVI, son prédécesseur, pape émérite. Certains lui opposeront alors les déclarations qu’il a faites au nom de la miséricorde, du dialogue et de l’ouverture à ceux qui sont aux marges.
  • Soit faire une déclaration modifiant celle du Cardinal Ratzinger en 1983. Il parlerait alors au nom de son autorité pontificale, supérieure à celle du Préfet de la Congrégation de la Doctrine chrétienne de 1983. Une décision de ce genre semble impossible tellement elle étonnerait bon nombre de catholiques en leur donnant à penser qu’un pape dit le contraire de son prédécesseur… toujours en vie ! Rome a l’habitude de laisser agir le temps et l’oubli pour rendre obsolète ce qui n’a plus lieu d’être maintenu en vigueur en raison d’un contexte historique différent.
  • Soit en déplaçant totalement les données actuelles pour sortir du piège, (soit approuver, soit désapprouver).

Par exemple, en demandant une mise à jour de la déclaration de 1983 au motif que les situations ont évolué depuis 30 ans et qu’on peut aujourd’hui s’appuyer sur une connaissance plus large des principes de la Franc-Maçonnerie au lieu de s’en tenir à la documentation très spécifique sur laquelle fut fondée la déclaration de 1983. (« L’Église et la franc-maçonnerie. Déclaration de l’épiscopat allemand », La Documentation Catholique, N° 1807 – 3 Mai 1981, p.444-448).

Tout ce qui précède peut aussi être considéré comme négociation relevant des arguties canoniques, incompréhensible pour le peuple chrétien, alors que celui-ci est maintenant au courant d’un problème qu’il ignorait jusqu’à présent.

L’heure est probablement venue de réfléchir sur le dialogue qui pourrait exister entre l’Église et la Franc-Maçonnerie. Le Concile Vatican II, avec « Nostra aetate » et « Dignitatis humanae » notamment, a considérablement fait évoluer les rapports de l’Église romaine avec le Judaïsme, l’Islam, les religions non chrétiennes et les non-croyants. Or, jamais encore n’a été entreprise une étude officielle sur les rapports susceptibles d’exister entre l’Église et les diverses Obédiences maçonniques en Europe et à travers le Monde. Une grande diversité caractérise ces Obédiences, leur histoire, leurs relations avec les diverses Confessions chrétiennes.

Beaucoup de francs-maçons dialoguent avec des chrétiens ou collaborent avec eux. Beaucoup de catholiques entretiennent des relations fraternelles avec des francs-maçons, parfois sans le savoir.

Franc-Maçonnerie et Église catholique doivent-elles se considérer comme d’éternels ennemis ? Ou aborder délibérément une nouvelle phase de leur histoire tourmentée pour mieux se connaître et en tirer conséquences ?

Il est temps de dépasser les contacts informels souvent tenus secrets : ils ont eu leur mérite ; ils ont préparé le chemin ; ils ne suffisent plus. Á l’heure d’internet et de la mondialisation de l’information, à l’heure où il est urgent de faire progresser la fraternité et la liberté face aux violences ou recherches extrémistes du pouvoir, l’heure ne serait-elle pas déjà venue d’une confrontation et d’un dialogue respectueux entre l’Église romaine et les Obédiences maçonniques qui l’accepteraient ?

Poussée par l’Esprit de Pentecôte, l’Église catholique osera-t-elle faire le premier pas avec le Pape François ?

Jean Charles THOMAS Ancien évêque de Corse et de Versailles 29 mai 2013 

Voir aussi : http://lodgamour.blogspirit.com/archive/2013/06/14/nouvea...

29/05/2013

CURE ET FRANC-MACON : VIRE DE L'ECAR

Nous relayons ici le communiqué du père Pascal Vesin, curé de Megève et Franc-Maçon, viré de l'église romaine en raison de son appartenance maçonnique. Notre commentaire en suite.

Voir aussi : http://lodgamour.blogspirit.com/archive/2013/06/01/merci-...

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De toute ma vie de prêtre, je n’ai jamais autant souffert. Ce ministère, pour lequel je suis fait, m’est retiré. Cette Eglise que je veux continuer à servir, j’en suis exclu. Car contrairement à ce que l’on dit, je ne quitte pas l’Eglise ; on me l’a fait quitter, me proposant une peine « médicinale ». Une blessure : Je ne suis pas malade.
Cette peine peut être levée si je quitte la Franc-Maçonnerie.
Je n’ai pas envie de quitter la Franc-Maçonnerie, comme je n’ai pas envie de quitter l’Eglise. Je ne choisis pas la Franc-Maçonnerie contre l’Eglise, je choisis de garder ma liberté de penser. Je suis exclu sur un malentendu, par une autorité romaine qui ne connait pas la maçonnerie et qui a refusé de me recevoir et d’entrer en dialogue. Contrairement à ce qu’affirme le communiqué de l’évêché, on ne m’a jamais demandé de renier les dogmes chrétiens ou ma foi : la totale liberté est laissée à chacun de ses membres de croire ou de ne pas croire. Cette réflexion menée en loge ne renie pas la foi personnelle de ses membres, elle inscrit la démarche de foi dans la sphère privée la plus intime de l’Homme.
Je ne veux pas perdre mon ministère à cause de cette incompréhension ou méconnaissance. C’est d’ailleurs pour cette raison que j’ai nié en faire partie lorsque Mgr Boivineau m’a interrogé la première fois en 2010 : de plus je ne voulais pas perdre mon ministère à cause de lettres anonymes envoyées comme à la pire époque de notre Histoire.
Cette discrétion, différente de cette notion de secret qui fait naître tant de phantasmes, à laquelle je tenais, est la preuve que je suis animé d’aucune volonté de prosélytisme.
Mais je ne veux pas me battre par démentis interposés ; je ne veux pas salir l’Eglise, je l’aime, même avec ses limite ; je veux qu’Elle entende les vraies questions qui lui sont posées aujourd’hui.
Un combat : L’ouverture au dialogue.
Je ne me situe pas dans un conflit Eglise-Maçonnerie. Conscient des avancées et de l’évolution de ces institutions, il y a des guerres qui n’ont plus lieu d’être. Si l’Eglise et la Maçonnerie se sont construites, dans l’histoire, en se combattant l’une contre l’autre, ce conflit n’est plus d’actualité. En tous les cas, ce n’est pas mon combat.
Mon combat est celui-ci : ma liberté, la liberté dans l’Institution Eglise.
Je n’absolutise aucune institution humaine, je ne défends pas la Maçonnerie, je défends la pluralité de pensée, le dialogue et l’ouverture. L’Eglise n’est-elle pas née plurielle ? Je n’ai jamais eu de problèmes pour cohabiter, pour dialoguer avec des chrétiens partageant d’autres idées que les miennes, avec des courants de pensée différents dans notre Eglise,…
Pourquoi l’Eglise n’entend-elle pas les questions qui lui sont posées ? Pourquoi l’Eglise semble si loin ? Pourquoi parle-t-elle un langage inaudible, pose-t-elle des actes incompréhensibles ? Ne pourrait-elle pas se servir de ce qui m’arrive (et ce qui arrive malheureusement trop souvent) comme occasion de dialogue, de rencontre ? Pourquoi n’accepte-telle pas ce questionnement sur son ouverture, sur sa tolérance, sur sa capacité à évoluer, à se laisser renouveler ?…
Au moment où une montée de l’obscurantisme, des intégrismes et des fanatismes est indéniable, je pense que l’Eglise devrait être plus ouverte au dialogue.
Puisse ce combat (j’aurais parfois l’envie de parler de « sacrifice », tant cette décision de l’Eglise me déchire) servir ce désir de dialogue et d’ouverture en Eglise.
Une conviction : La liberté de conscience.
Je n’ai pas choisi la Franc-Maçonnerie contre l’Eglise. Je choisis de garder ma liberté de penser et de pensée. Un choix où la liberté individuelle, la conscience et la foi se nourrissent sans s’annuler.
Nous défendons tous les valeurs de l’Évangile, humanistes : la liberté, la vérité, la justice. Notre bouche en est pleine. Et bien souvent, ces valeurs, nous les taisons, nous les prostituons, nous les oublions et nous nous asseyons dessus, au nom du politiquement correct, au nom du bien penser, au nom de la tranquillité. Notre cohérence, notre unité intérieure se trouvent ici questionnées. C’est l’expérience spirituelle, c’est l’expérience de l’Esprit Saint. Jusqu’où, aujourd’hui, pourrai-je défendre la liberté, la justice, la vérité ? Aurai-je le courage d’aller jusqu’au bout de ces valeurs, ce qu’elles me demandent, ce à quoi elles m’appellent, ou bien vais-je rester tiède ? Il nous est écrit, au livre de l’Apocalypse : « Dieu vomit les tièdes ».
La liberté n’est pas un vain mot : elle est une réalité, elle n’existe qu’en acte, elle a un prix. Je suis prêt à le payer. »
Père Pascal VESIN

Courage père Vesin et très cher Frère. Nous sommes avec vous.

Emmanuel

Notre commentaire

Alors qu'il ne semble avoir commis aucune faute dans l'exercice de son ministère, ce prêtre se voit retirer l'exercice de son emploi, sa rémunération (à terme), son logement. Il est d'autre part victime d'une censure publique sur la foi d'une dénonciation calomnieuse. Censure qui équivaut elle-même à une dénonciation calomnieuse puisque son appartenance à la FM serait une "maladie" reconnue par une "peine médicinale". 

L'église romaine en sanctionnant ce prêtre vient de donner, servie sur un plateau doré, la preuve de l'existence d'un "lien de subordination hiérarchique" entre elle et ses prêtres. Autant dire que tous ceux qui sont en délicatesse avec elle en raison des rémunérations ou des retraites ou des conditions de travail ont l'argument clé pour agir aux Prud'hommes. Ils pourront sans grande difficulté y ajouter des motifs liés aux horaires, au non respect des salaires minimaux....

De plus cette punition atteint cet homme, et d'autres, dans ses droits civils reconnus par le droit français. Ce qui autorise à une action au Civil pour atteinte à liberté d'association sur le fondement notable de l'article X de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen qui stipule que "Nul ne peut être inquiété pour ses opinions, même religieuses, dès lors qu'elles ne troublent pas l'ordre public". Et la-dessus nous attendons de grands avocats comme par exemple Maitre C... (par ailleurs figure de proue d'un certain parti politique) qui s'honorerait à défendre gratuitement cet humble prêtre plutôt qu'à faire de l'argent avec des ténors du grand banditisme.

En France notamment le droit d'association, de réunion, d'appartenance... prévaut sur le sol de la République contrairement  à celui qui a cours au Vatican plus prompt à s'associer avec les pires dictatures et à protéger ses criminels sexuels et financiers qu'a soutenir ses prêtres dans la défense des pauvres (condamnation de la théologie de la libération, prêtres ouvriers...), celle des minorités (homosexuels par exemple), celle des opprimés (comme les victimes de trafics et dictatures...).

Eglise romaine qui suit plus volontiers "Frigide" que Soeur Emmanuelle ou l'Abbé Pierre.    Secte vaticane bien plus prompte à condamner qu'à accueillir ce qui lui retire le droit de se dire "catholique".

Nous appelons donc "barjoglio", le pontifex maximus qui n'a pas manqué de connaitre ce cas, à prier ses inquisiteurs de revoir leur copie, non à l'aune de leur vision étroite du sacerdoce, mais à celle bien plus ouverte de l'Humanisme Républicain. 

Et pour finir la dernière de barjoglio (aujourd'hui même à des pélerins français) : N’hésitez pas à la défendre (l'église romaine); n’hésitez pas à vous dépenser pour elle, à vous engager à son service, à la rendre plus fraternelle et plus accueillante.

Côté fraternité et accueil... c'est plutôt râpé!