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22/07/2006

Une idée à "tête dure"!!!

Un de nos correspondant nous fait parvenir le texte d'un message adressé à Mgr Gaillot à la suite de la lecture de son site "Parténia" dont le lien est donné dans notre rubrique "A suivre" : 
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"Bonsoir Très Respectable Père Gaillot
Peut être vous souviendrez-vous de notre rencontre Place ********** à G**** il y a deux ou trois ans de ça. Je suis venu à vous car vous étiez seul et vous m'aviez paru un peu désorienté. J'ai souhaité vous inviter à diner en famille mais vous attendiez quelqu'un. Dans notre échange je vous ai rappelé que bien que Franc-Maçon j'avais participé au Comité de soutien organisé par Mgr ***** alors Evêque de ******.
Le hasard m'a conduit sur votre site à la suite d'une recherche sur Compostelle que j'ai eu moi aussi le privilège de cheminer depuis Vézelay. Au passage j'ai relevé ceci :"

"Quand le livre parut, je fus chaleureusement convié à la séance de signatures à Dijon. Arrivé à la gare, Jean m'attendait avec une grande coquille qui pendait à son cou. " Je suis franc-maçon " me dit-il. Je ne savais pas qu'en allant à la Maison des Jeunes et de la Culture, où avait lieu la rencontre, je trouverais des francs-maçons de toute la région. Tous manifestaient leur intérêt pour la démarche du pèlerinage. Eux aussi se réclamaient d'une spiritualité sans dogme, sans révélation. Une transcendance sans Dieu". 

Je ne puis que m'élever avec force contre cette dernière affirmation contraire à la réalité maçonnique. Il est vrai qu'une petite partie des FM est athée voire même très anti-cléricale. Pour le reste, soit 95% des 5 millions des maçons du monde est vraie cette affirmation très ancienne "La FM proclame, comme elle l'a proclamée depuis ses origines, l'existence d'un Principe Créateur, qu'elle nomme Grand Architecte de l'Univers et qu'elle laisse à chacun de ses membres le soin de définir librement". On ne peut donc pas parler à son sujet de transcendance sans Dieu ni d'absence de révélation. Dans mes loges la Bible est ouverte au Prologue de Jean qui est lu à chacune des tenues. Il est cependant vrai que la FM n'a pas de dogme (sauf un peu celui de la tolérance) et elle laisse à ses membres la liberté de pratiquer la religion de leur choix (c'est ainsi que je me dis Chrétien, Catholique et FM) sous réserve de respecter les choix des autres membres. 

Il serait temps que des hommes de foi comme vous s'abstraient des vieux clichés sur la "synagogue de satan" véhiculés dans l'Eglise depuis les écrits inexacts du sinistre Abbé Barruel et autres Taxil.

Voila ce que je souhaitais vous dire en vous souhaitant courage dans l'action que vous menez contre la pensée (trop) droite. Avec mes respectueuses salutations.

JM******

Réponse de Mgr GAILLOT

Cher ami, merci de vos remarques fraternelles et de vos remarques pertinentes. Bon chemin. Bonne lutte. Fraternellement. Jacques Gaillot

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Voilà bien en effet des idées qui ont, si l'on peut dire la "tête dure". Notre frère aurait pu ajouter la trop longue liste des prêlats catholiques qui ont versé dans l'antimaçonnisme primaire.

Gageons qu'avec Mgr GAILLOT dont l'ouverture d'esprit est bien connue une rectification sera bientôt faite sur son site. 

Emmanuel  

 

Idolâtrie quand tu nous tiens!!!

Des sans-papiers à la mosquée

D'habitude ils s'invitent dans les églises. Cette fois-ci, ils ont choisi d'aller à la grande mosquée de Paris.
Après avoir obtenu le soutien des communautés chrétiennes (catholique, protestante et orthodoxe) ils réclament celui de la communauté musulmane. Le Recteur de la grande mosquée devrait prendre position sur la nouvelle loi de l'immigration. Comme musulmans, ils se sentent autorisés à faire cette démarche.

Apprenant par la radio l'occupation de la mosquée, je me rends aussitôt sur les lieux. A peine arrivé, j'aperçois les sans- papiers qui sortent de la mosquée et se regroupent prés de l'entrée. Ils me font part de leur déception : " On est mieux accueilli dans les églises. Impossible de rencontrer le Recteur. Ce sera pour demain."
Les policiers forment un mur devant l'entrée de la mosquée. Impressionnant ! Au bout d'une heure, ils se retirent et les portes de la mosquée se ferment.

Voici que des hommes viennent faire leurs prières. Ils se heurtent à une porte fermée. Leur nombre ne cesse de grandir et dépasse celui des sans papiers. Deux groupes se font face et commencent à s'invectiver. " C'est à cause de vous que les portes sont fermées. Partez d'ici et les portes s'ouvriront. Vous nous empêchez de prier ".

Les sans-papiers expriment leur colère : " Comment pouvez-vous aller prier sans vous montrer solidaires de vos frères. Nous sommes en danger. Comment pouvez-vous honorer Dieu en nous laissant de côté ? Cessez de faire un groupe à part. Venez-nous rejoindre." Le ton monte. On en arrive aux mains.

Triste spectacle de voir des croyants s'entre-déchirer devant un lieu de culte!
La prière ne libère pas des tâches de ce monde. C'est l'être humain qui doit être premier. On lui préfère le culte et ses dévotions. C'est tellement plus facile !

Relevé sur le site du Diocèse de Parténia (Mgr GAILLOT) - Voir Lien - Rubrique à suivre.

Le droit d'en sourire

BELGIQUE : Journal "LE SOIR" - EDITION DU JEUDI 7 AVRIL 2005  est parue la lettre suivante, écrite par un romanciers connu :

Lettre ouverte au cardinal Danneels (de Bruxelles)

Xavier Deutsch - Romancier

"Permettez-moi d'abord de vous présenter mes condoléances à l'occasion du décès de votre collègue, l'évêque de Rome.

Précisément, c'est à cette circonstance que je me dois de vous écrire aujourd'hui. Car vous allez bientôt vous réunir en conclave avec vos autres collègues demeurés en vie, en vue d'élire la personne qui occupera, à l'avenir, ce poste rendu vacant.

Je vous avoue que j'ai un peu de mal avec l'idée que tout cela va se dérouler dans la plus totale opacité. Or, par ailleurs, renseignements pris, j'entends qu'il n'est pas du tout nécessaire d'être cardinal, ni même prêtre, pour être nommé pape : il suffit d'être un homme, et d'être baptisé. Je remplis cette double condition.

En conséquence de quoi, cher Monsieur, je vous prie de prendre acte de ma candidature à la fonction de l'évêché de Rome. Ou, si nécessaire, de transmettre ma candidature à qui de droit.

Je mesure que cette démarche peut avoir de quoi surprendre. Elle est contraire aux habitudes. On dira peut-être même que « cela ne se fait pas ». Mais, d'une part, si Jésus s'était soucié de ne pas bousculer un petit peu les habitudes, le christianisme ne serait jamais sorti de sa coquille. Et d'autre part, le peuple chrétien n'a été que trop longtemps, trop souvent et trop sévèrement écarté des décisions qui le concernent pourtant au premier chef. Je souhaite qu'on restitue aux chrétiens la responsabilité de leur avenir, et c'est dans cet esprit que je fais aujourd'hui acte de candidature.

Il est naturel, au moment où l'on se porte candidat à un poste, d'exprimer son programme. Pour ma part, celui-ci tient en quelques points qui pourront encore être amendés ou épaissis par la suite. Je pose donc :

- une remise à l'honneur de l'Evangile de Jésus, dans tout ce qu'il a de lumineux, de joyeux, de libérant et de vivant ; et par voie de conséquence une mise au rebut de toute une série de principes mortifères trop souvent portés au pinacle par la théologie moderne (tels que la glorification de la souffrance, le culte du secret, la haine des femmes, la méfiance à l'égard du désir, le culte de la personnalité, la culpabilisation utilisée comme moyen de sujétion et de domination...) ;

- par priorité absolue, et sans délai, l'accès des femmes à toutes les fonctions et à tous les charismes que l'Église institue ;

- la ratification par le Saint-Siège du protocole de Kyoto, et (après adhésion au Conseil de l'Europe), de la Convention européenne des droits de l'homme et des libertés fondamentales ;

- considérant que toute existence humaine est infiniment sacrée, et d'égale valeur, l'abandon progressif mais rapide de tout ce fatras et de toute cette terminologie infantilisante qui, à coup de « Saint-Père », de « Monseigneur », et de génuflexions, maintiennent le peuple chrétien sous la domination de ses prélats ;

- un effort accru de décentralisation, et de responsabilisation des Eglises locales, non pas dans le souci de les conformer à ce que Rome décidera, mais dans le respect des singularités régionales ;

- une transparence à tous les étages de l'institution ecclésiastique, à commencer par la Curie ;

- un respect accru, de leur hiérarchie, envers les curés de paroisse ;

- l'abandon du principe d'infaillibilité pontificale ;

- je crains fort de devoir réexaminer certaines canonisations imprudemment commises par Wojtyla, notamment celles de Balaguer et de Stepinac ;

- je me réserve la liberté de procéder à un droit d'inventaire sur l'héritage du passé, à charge comme à décharge, et dans un réel esprit de bonne volonté ;

- l'Opus Dei demeurera prélature spéciale du pape : je considère que cette association est tout à fait qualifiée pour apporter son petit-déjeuner au pontife chaque matin.

La parole du Christ a été confisquée par des gens qui l'ont tirée du côté hiérarchique (alors qu'elle est fraternelle), masochiste et douloureux (alors qu'elle n'est préoccupée que de joie et qu'elle met fin à la logique sacrificielle), misogyne (alors qu'à l'évidence les femmes jouent un rôle capital dans l'entourage de Jésus), contraignante et infantilisante (alors qu'elle prône la liberté et le sens des responsabilités). Je pense que, maintenant, cela suffit.

J'ajoute que, vu mon âge (je viens d'avoir quarante ans), vous pourriez redouter, en m'élisant, d'en prendre pour un demi-siècle : cependant non, car je m'engage à quitter le poste dès l'âge légal de la retraite (comme d'ailleurs c'est la règle en droit canon pour n'importe lequel des prélats de l'Église, règle bien peu observée, j'ai l'impression).

Voilà, cher Monsieur, en tant que mon prélat de référence, je m'en remets à vous pour vous demander de bien vouloir porter ma candidature à la connaissance de vos collègues cardinaux bientôt réunis en conclave. Je vous prie de recevoir ma démarche avec le plus grand sérieux : je ne me permettrais pas de plaisanter sur un tel sujet, et c'est dans un esprit de service envers l'Eglise - j'entends bien sûr par là le peuple des chrétiens - que je signe cet acte.

En vous remerciant, je vous prie, cher Monsieur, et frère en Jésus-Christ, de croire en ma réelle et sincère volonté de suivre l'Esprit où il souffle".

Manifestement un trait de plume qui n'a pas été entendu mais qui nous a fait sourire.

Emmanuel

17/07/2006

PAPES FRANCS-MACONS : Un sommet d'idiotie

 De Jean XXIII à Jean-Paul II des papes francs-maçons!!!

.../... Selon Saint PIE X  « Le triomphe de Dieu sur les individus et sur toute la société n’est rien d’autre que le retour à Dieu des égarés à travers le Christ, et au Christ à travers son Église : voilà Notre programme. »

Alors que tout à l’opposé, le programme de Paul VI était de provoquer le naufrage du Règne de Dieu par un œcuménisme universel de foi en l’homme, et d’un culte de l’homme qui mène forcément à un humanisme déiste au service de l’ONU maçonnique.../... l’Église du Christ, durant son pontificat, a dépéri justement à cause de son action innovatrice, réformatrice, perturbatrice.../...

Paul VI admit lui-même l’œuvre de Satan dans l’Église conciliaire et postconciliaire… Mais qu’a-t-il fait pour sauver cette Église du Christ de la domination de Satan dont il avait constaté la réalité dévastatrice ? Rien, alors qu’il avait lui-même jeté la barque de Pierre dans la tempête.../... Quand Paul VI bouleversa tout pour réformer, changer, modifier, n’était-ce pas lui qui gouvernait, qui imposait ses idées, créant ainsi toutes les prémisses de cette tempête sur l’Église ? Et alors, il n’avait pas le droit de se croiser les bras, d’abandonner le gouvernail de la barque de Pierre, en prétendant que Dieu fasse Lui-même le miracle du sauvetage.

.../... Mais nous devons aussi rappeler la grande bataille qui fut tout de suite engagée par les papes face aux tendances modernistes, depuis la parution de l’encyclique Mirari Vos de Grégoire XVI (15 août 1832) jusqu’aux temps de Vatican II.

Tous les papes avaient tenu bon !

Le Syllabus du 8 décembre 1864 fit la liste des erreurs du modernisme ; Pie IX ne cessa jamais de combattre le libéralisme catholique ; ainsi que Léon XIII avec les encycliques Immortale Dei et Libertas Præstantissimum. St Pie X fit par la suite une analyse implacable du Modernisme doctrinal avec l’encyclique Pascendi de 1907, de même qu’il condamna l’utopie politico-religieuse de Marc Sangnier avec la Lettre sur le Sillon du 25 août 1910. Pie XI continua cette bataille contre les nouvelles hérésies modernes avec l’encyclique Quas Primas du 11 décembre 1925, dont la doctrine est à l’opposé de l’actuelle sécularisation ; et puis, avec Mortalium Animos du 6 janvier 1928, qui anticipe la condamnation de l’actuel œcuménisme. Pie XII – dont les enseignements sont tous contre la subversion actuelle dans l’Eglise – avec l’encyclique Mystici Corporis du 29 juin 1943, contre l’ecclésiologie réformée ; avec Divino Afflante Spiritu du 30 novembre 1947 ; avec Humani Generis du 15 août 1950, contre le réformisme dogmatique, ou nouveau modernisme ; avec Haurietis Aquas du 16 mai 1956…

Et à présent demandons-nous : pourquoi ce que l’Église avait toujours rejeté avec force et condamné, Vatican II l’a fait passer rien moins que dans le dépôt doctrinal ? La réponse à cette question, je la trouve dans le discours d’ouverture de Vatican II du 11 octobre 1962, préparé et rédigé par l’archevêque de Milan, Montini (Témoignage de Mgr Colombo, publié par Juffè, Paul VI, p.129), mais prononcé par Jean XXIII ; un discours qui a ouvert les portes.../...

Puis ce fut l’encyclique Pacem in Terris, toute inspirée par la Déclaration des droits de l’homme : droits à la liberté, à la paix universelle, en accord avec les principes maçonniques, et pour cela, immédiatement divulguée et exploitée dans le monde entier.

.../... Ce sera avec l’encyclique Ecclesiam Suam du 6 août 1964 (déjà ébauchée dans son discours du 29 septembre 1963, et qui deviendra la Charte de son Pontificat) que Paul VI manifestera ses intentions, tout en continuant son attitude équivoque, parlant de : ‘Expérience vitale...mais foi’, de ‘renouveau… mais tradition et perfectionnement spirituel’, de ‘dialogue… mais prédication’… Paroles édulcorées en une claire vision de sa ‘nouvelle religion’ que tous ses prédécesseurs avaient pourtant rejetée. Et ce sera le choix de la réforme, de l’optimisme, du dialogue œcuménique, de l’ouverture au monde d’où sortiront ensuite ses schémas les plus dangereux, qu’il promulgua solennellement malgré les nombreuses oppositions.

Mais l’opposition sera écrasée et la subversion finira par vaincre.

Après ces claires allusions, nous pouvons dire que la subversion de la foi dans l’Église universelle est la conséquence inéluctable du pontificat de Paul VI, qui se servit justement de Vatican II pour réaliser ses songes libéraux de ‘renouveau’ et de ‘mise à jour’.../...

 Lire la suite sur :

http://www.christ-roi.net/index.php/PAUL_VI,_bienheureux%...

 Mais jusqu'où iront-ils???

Quand pourrons-nous qualifier BENOIT XVI de Frère Benoit?

En tous cas voilà encore un site "chrétien" résolument anti-maçonnique, totalement opposé aux Droits de l'Homme et aux libertés fondamentales.

Emmanuel